À l’heure où les polémiques tournent autour de la monnaie virtuelle, bitcoin, les parlementaires affichent un esprit positif à son égard. En effet, la commission des finances au sein de la Chambre Haute en France trouve du sens dans l’utilisation de cette monnaie virtuelle. Selon les membres de cette commission, on peut effectuer des opérations bien sécurisées avec cette monnaie tout en limitant les coûts de transaction.
Confidentialité et sécurité des opérations
Les sénateurs réunis au sein de la Chambre haute du sénat sont unanimes quant à l’avenir et la sécurité de l’utilisation du bitcoin comme monnaie d’échange.
En effet, la spécificité de la monnaie qui lui permet une décentralisation totale est une garantie de la confidentialité et la sécurité des opérations effectuées avec bitcoin. Selon ces derniers, les opérations se font par système de cryptage, mais aussi avec des calculs par tirage au sort avant de valider un paiement.
Par ailleurs, les bitcoins ne sont pas stocker dans un seul serveur, mais répartis. Il est donc, quasi-impossible d’en effectuer le piratage. Ce qui permet également de s’assurer qu’aucune personne ne sera en connaissance du système de cryptage et des données complètes.
Les informations étant réparties un peu partout. Par cette analyse, le sénat français voit un avenir prolifique pour cette monnaie virtuelle.
Une utilisation plus large et des opérations à moindres coûts
Un autre argument qui prouve que le bitcoin est bénéfique pour l’avenir du marché financier, c’est qu’il peut être utilisé de manière plus large.
En effet, avec son système, il est possible de faire usage de toute sorte de systèmes de cryptage et de sécurisation. Cela peut aller des simples mots de passe, à l’identifiant et à l’authentification des diplômes et autres certificats.
Dans tous les cas, l’usage du bitcoin et les opérations y afférentes ne coûtent pas chers avec des frais d’opération quasi-gratuits.