De plus en plus de personnes critiquent aujourd’hui le Bitcoin en raison de la consommation d’énergie nécessaire pour son extraction. Presque chaque semaine, les médias grand public critiquent l’exploitation de Bitcoin, peignant des images alarmistes d’une planète brûlée en raison de la conception inutile de technologie. La réalité est moins tranchée. Les défenseurs du Bitcoin ont riposté récemment, avec une nouvelle étude mettant en évidence les nombreux aspects positifs du minage de Bitcoin.
Le Bitcoin nuit-il vraiment à l’environnement ?
Il est devenu populaire aujourd’hui de rejeter la preuve de travail concernant les atouts du Bitcoin. La plupart des gens pensent souvent aux effets négatifs de cette crypto-devise sur l’environnement. Cependant, certaines personnes ne sont pas de cet avis. Lorsqu’on recherche le mot Bitcoin sur Google, on est sûr de tomber sur un article comparant la consommation énergétique du Bitcoin à celle de l’Irlande.
Ces estimations surestiment la facture d’énergie du Bitcoin d’au moins un tiers. Les analyses concernant le marché du Bitcoin sont si mauvaises qu’elles peuvent détruire ce secteur en 2020, confirment certains experts. Un des problèmes que beaucoup de ces rapports posent est d’assimilier le nombre de transactions du Bitcoin au coût de l’extraction. Pourtant, il n’y a pas de relation entre les deux.
Une étude pour faire taire les détracteurs
L’étude menée par Node Blockchain révèle les différentes raisons pour lesquelles l’exploitation du Bitcoin peut être positive. L’une d’elles est le fait que, à mesure que les progrès technologiques atteignent un niveau de rendement décroissant, le seul moyen pour les mineurs de rester rentables sera de rechercher des sources d’énergie moins chères.
Ci-dessous une vidéo montrant comment gagner de l’argent grâce au minage de Bitcoin :
https://www.youtube.com/watch?v=LayWNhY6gSA
L’emplacement physique des centres miniers n’étant pas important pour le réseau Bitcoin, les mineurs affluent vers les zones générant un surplus d’électricité aux coûts relativement bas. Sur le long terme, cela pourrait produire des marchés mondiaux de l’énergie plus efficaces.