Et si les crypto-monnaies permettaient d’améliorer l’efficience du système financier international ? C’est bel et bien ce que semblent penser les chercheurs de l’Infiniti Research, une entreprise spécialisée dans la finance au niveau mondial.
Un impact positif
Il y a quelques jours, les chercheurs de l’Infiniti Research ont publié un rapport portant sur l’impact des monnaies numériques sur le secteur de la finance. Or, cette étude s’avère particulièrement intéressante, car elle affirme que le Bitcoin et les autres crypto-monnaies pourraient être la solution optimale pour rééquilibrer l’économie mondiale.
Les experts avouent que l’usage des monnaies virtuelles n’est pas généralisé pour l’instant. Ce qui n’empêche pas leur influence au niveau international. Ils pointent notamment du doigt les transactions transfrontalières qui sont faites en temps réel : dans cette optique, les monnaies virtuelles représentent la meilleure des alternatives. C’est pour cette raison qu’ils estiment que les banques devraient se tourner vers la BlockChain rapidement.
Une solution optimale ?
L’étude menée par Infiniti Research porte sur quatre crypto-monnaies, à savoir le Bitcoin, l’Ethereum, le Monero et le Dash. L’anonymat, la sécurité ou encore la confidentialité des transactions sont des atouts considérables pour les investisseurs. Mais ce n’est pas tout. Les experts affirment également que le Bitcoin est une valeur refuge, notamment pour les habitants des pays en situation de crise.
Ainsi, même si le Bitcoin reste un actif volatile, il est plus stable que certaines monnaies nationales comme celle du Venezuela ou celle de la Turquie qui ne cesse de perdre de la valeur ces dernières semaines. C’est d’ailleurs à cause de cette chute que les habitants sont de plus en plus nombreux à se tourner vers les crypto-monnaies.
Les chercheurs affirment donc que les crypto-monnaies sont un véritable substitut pour certaines monnaies nationales et pourraient donc représenter la meilleure des solutions pour rétablir la stabilité économique au niveau international. L’avenir nous dira s’ils avaient raison !
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