Alors que les bitcoiners célèbrent le 10e anniversaire de l’invention de Satoshi, les passionnés se rendront compte que beaucoup de choses ont changé depuis les premiers jours. L’art de la fabrication de Bitcoin est une activité qui était autrefois extrêmement populaire. La réglementation gouvernementale a contrait les activités à cesser, ce qui a pratiquement mis fin à l’activité physique des entreprises de fabrication de Bitcoin.

La fabrication de Bitcoin physique est un art perdu

Peu de temps après le lancement de Bitcoin, les gens ont réussi à créer des portefeuilles en papier et le concept de Bitcoins physiques est né. Après cela, les individus ont poussé l’idée à un autre niveau et ont créé des Bitcoins en métal frappés. Les pièces Casascius sont rapidement devenues un objet de collection avec ces souvenirs brillants chargés de devises numériques. Cependant, après que Mike Caldwell, le créateur des devises Casascius, ait commencé à vendre ses Bitcoins physiques chargés d’entité ou de fractions entières de Bitcoin, il a été fermé par le réseau américain de lutte contre la criminalité.

Ci-dessous une vidéo en anglais parlant de cette nouvelle :

https://www.youtube.com/watch?v=bjLL8ANgZGM

Le régulateur américain a envisagé de frapper des pièces Casascius avec une transmission illégale de fonds et Caldwell a dû cesser de vendre des devises chargées. Depuis lors, un certain nombre de fabricants ont tenté de vendre des Bitcoins à des investisseurs susceptibles de trouver une valeur numismatique dans ces collections physiques.

Les gouvernements n’aiment pas les titres obligatoires concurrents

La plus grande raison de la fermeture de la plupart de ces entreprises est la réglementation qui va trop loin. Le gouvernement américain, par exemple, peut accepter que des personnes échangent des crypto-monnaies de manière réglementée par voie numérique.

Toutefois, émettre des Bitcoins physiques chargés ou tout autre type d’instrument d’obligation au porteur fabriqué concurrençant le dollar américain n’est pas une bonne idée et vous pourriez vous retrouver en prison. Cela peut également arriver aux créateurs de pièces, même si les produits sont frappés sans aucune valeur chargée numériquement.

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Eva, journaliste aguerrie avec 15 ans d’expérience dans des médias tels que Masa Journey et Upsider, est diplômée en communication et journalisme en Israël et à la Sorbonne. Passionnée par les cryptomonnaies et la blockchain, et toujours en quête de nouveauté, elle apporte à BitcoinMatin.fr une expertise approfondie et un style unique, enrichissant chaque article d’analyses pertinentes. Pour toute question, contactez-la à [email protected].

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